Votre recherche : "Accompagnement social"

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Le service de l'aide sociale à l'enfance qui n'entreprend pas les démarches pour déclarer pupille de l'État un mineur confié engage la responsabilité du département. Cette carence prive en effet l'enfant d'une chance de faire l'objet d'une adoption plénière.
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En théorie, à compter du 12 novembre 2014, en l'absence de réponse de l'administration dans les 2 mois, la demande d'un usager sera considérée comme acceptée. Cette règle souffre néanmoins de nombreuses exceptions notamment dans le champ social et médico-social. Le ministère des affaires sociales a dévoilé les dérogations envisagées.
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Difficile de ne pas voir un lien entre les réformes visant à plus de mobilité chez les fonctionnaires - projet de décret sur la réorientation professionnelle - et les restructurations à l'oeuvre dans l'administration (RGPP), qui ont abouti dans le champ sanitaire et social à la disparition des Ddass et Drass. Explications.
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L'Etat et l'Assemblée des départements de France (ADF) ont conclu un protocole de prise en charge des mineurs étrangers isolés, dans lequel l'Etat consent à prendre en charge financièrement les cinq premiers jours de la procédure. L'autorité judiciaire en charge de l'orientation des enfants doit également veiller à une répartition équilibrée sur le territoire national.
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Que doivent faire les responsables des accueils collectifs de mineurs en cas de survenue de symptômes de la grippe A (H1N1) parmi les enfants accueillis ? Le Haut commissaire à la jeunesse détaille la procédure à suivre.
Le magazine
Pour pallier la raréfaction des stages, le gouvernement a trouvé une parade : alléger le dispositif. Les fédérations professionnelles craignent un appauvrissement de leur contenu. En filigrane se pose la question du travailleur social de demain : doit-il être centré sur la relation à l'usager ou bien sur le travail en réseau dans une logique de parcours ?
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Les annonces du chef de l'Etat en faveur de la création d'une "nouvelle branche de sécurité sociale" dédiée à la dépendance, précisées par la ministre des solidarités, n'ont pas franchement rassuré le secteur associatif ni l'Assemblée des départements de France (ADF). Les craintes demeurent fortes concernant la place des assureurs et le maintien à domicile des personnes âgées.