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Aujourd'hui fragilisé par un flou législatif, l'accompagnement des jeunes sortants de l'aide sociale à l'enfance (ASE) pourrait enfin être renforcé à la faveur du plan pauvreté. Inégale selon les territoires, reflétant les faiblesses de la protection de l'enfance, leur situation a fait l'objet d'une mobilisation nouvelle. Mais les espoirs attendent maintenant d'être concrétisés.

Coup sur coup, une série d'annonces de rapprochements entre fédérations a montré que la branche sanitaire et sociale à but non lucrative cherchait un nouvel équilibre. L'enjeu est double : construire une vraie parole politique audible ; être en phase avec une organisation du secteur moins cloisonnée. En 2015, les évolutions pourraient s'accélérer sérieusement...

La restitution du rapport de préfiguration de la stratégie nationale pour un numérique inclusif, le 28 mai, ouvre une nouvelle page des politiques publiques. Les propositions visent au renforcement de la filière de médiation numérique et un fonds de soutien pour l’inclusion numérique devrait voir le jour au début de l’été.

Le directeur de la protection judiciaire de la jeunesse (DPJJ), Jean-Louis Daumas, rappelle à ses services les grandes orientations en matière d'action d'éducation structurée par les activités de jour dans les établissements et services du secteur public de la protection judiciaire de la jeunesse.

Emploi, formation, orientation, logement, santé, ressources : le Livre vert de la commission Hirsch sur la politique de la jeunesse, rendu public hier, ne fait l'impasse sur aucun domaine. Notre attention s'est plus particulièrement portée sur les propositions en matière de ressources et de soutien aux jeunes majeurs.

Frédéric Bierry vient de mener une mission relative aux mesures d'insertion prévues par le plan « pauvreté ». Elles seront mises en musique via des conventions « d'appui » entre État et départements, dont certaines ont déjà été signées. Entretien avec le président du conseil départemental du Bas-Rhin, à la veille de la remise de ses préconisations.

Au grand dam des fédérations du secteur social, les services prestataires d'aide à domicile pour les publics fragiles peuvent s'affranchir des contraintes de la loi 2002-2 en se plaçant sous le régime de l'agrément des services à la personne. Quelles sont les conséquences de ce choix ? Les incidences pour les usagers ?

En Haute-Gironde, le dispositif Transi-Ssiad répond, dans l'urgence, aux besoins de soins de nursing à domicile des personnes âgées ou handicapées, après une opération ou lorsque leur situation l'exige. L'objectif : éviter les files d'attentes en amont et en aval d'une hospitalisation.