Votre recherche : "En quête de sens"

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Pour cette dixième étape, notre série de portraits d'étudiants en travail social part à la rencontre de Flore Neubauer, en deuxième année d'assistant de service social à l'IRTS Montrouge. Cette jeune trentenaire qui a multiplié les expériences à l'étranger a décidé, après mure réflexion, de travailler dans le social. Elle nous explique pourquoi.
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Notre série « A voix haute » veut donner la parole à ceux qui n'ont longtemps pas eu voix au chapitre : "usagers", "bénéficiaires", "personnes accompagnées". Atteinte d’une amyotrophie spinale, Céline Perdreau emploie 5 auxiliaires de vie qui se relaient à son domicile 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Et défend une conception exigeante du positionnement de ces professionnels.
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On peut être étudiant en travail social en approchant la quarantaine. On peut découvrir sur le tard l'intérêt de ces professions centrées sur l'accompagnement des personnes en difficultés. C'est le cas de Céline Perry qui, après diverses expériences professionnelles, a choisi de se reconvertir et de reprendre des études d'assistante sociale. Suite de notre série de portraits.
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Notre nouvelle série, "A voix haute", a pour ambition de donner la parole à ceux qui n'ont longtemps pas eu voix au chapitre : ceux qu'on nomme "usagers", "bénéficiaires", ou encore "personnes accompagnées". Et c'est avec Hamidou que l'on inaugure l'exercice : ce mineur isolé étranger a dû batailler 6 mois avant d'obtenir une prise en charge par la protection de l'enfance.
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Nous poursuivons notre série de portraits d'étudiants en travail social. Cette semaine, direction Reims pour une rencontre avec Ophélie Chapuis, future monitrice éducatrice. Son choix professionnel est intervenu après un parcours sinueux et avec la ferme intention de démarrer le métier par le bas. Et de ne pas abandonner son franc-parler.
Le magazine
S'engager dans les métiers du secteur médico-social, c'est oser la rencontre avec les fragilités, affronter des situations humaines complexes et difficiles. Les professionnels s'autorisent rarement à l'envisager sous l'angle du plaisir au travail. Pourtant, il est souvent présent, quand l'organisation s'y prête et qu'ils trouvent du sens dans leur mission.
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Notre série "A voix haute" donne la parole à ceux qui n'ont longtemps pas eu voix au chapitre : "usagers", ou "personnes accompagnées''. Mougnal, 27 ans, a fui la Guinée pour la France. Sa demande d'asile rejetée par l'Ofpra, il a formé un recours devant la Cour nationale du droit d'asile (CNDA). Il attend la date de son audience et l'obtention, ou non, du statut de réfugié.
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Notre série « A voix haute » cherche à donner la parole à ceux qui n'ont longtemps pas eu voix au chapitre : les "personnes accompagnées". Sans jamais renier ses douleurs d’enfant, Maëlle Bouvier, placée en foyer puis en famille d'accueil, fait partie de ces jeunes de l’aide sociale à l’enfance (ASE) qui s’en sortent bien, et qui ont pu réaliser "un parcours de résilience".
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Notre série « A voix haute » veut donner la parole à ceux qui n'ont longtemps pas eu voix au chapitre : ceux qu'on nomme "usagers", "bénéficiaires", ou encore "personnes accompagnées"... Nous rencontrons aujourd'hui Angela, 19 ans, qui a passé toute sa vie dans des classes ou établissements spécialisés. Un chemin parfois erratique, peuplé de professionnels du travail social.
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Peut-on, à partir d'un bagage technique, se tourner vers les métiers de l'accompagnement social ? Oui, c'est possible en suivant la formation d'éducateur technique spécialisé. C'est l'histoire de Lou Beurlangey, étudiant à l'Irtess de Bourgogne. Il nous la raconte dans le cadre de notre série de portraits d'étudiants en travail social.