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À Nancy, l'association d'aide à domicile Garde a ouvert un service innovant, destiné aux enfants autistes. Pour les familles, le dispositif est synonyme de droit au répit. Pour certains salariés de Garde, il sert de tremplin pour une reconversion professionnelle.

Délibérément organisées au Mans, théâtre de « l'affaire Marina (1) », les 6e Assises nationales de la protection de l'enfance (2) portaient cette année sur le thème des éventuelles « failles » du dispositif, notamment en matière de repérage. L'occasion d'un retour sur leurs pratiques pour les acteurs du secteur, qui concèdent quelques pistes d'amélioration.

Faute de définition précise, la notion d'information préoccupante, censée permettre de repérer plus tôt et plus exhaustivement les situations de danger, manque d'opérationnalité. Elle ne va pas non plus sans poser des questions de taille, sur un sujet sensible, où la cause des enfants côtoie la nécessité de préserver les droits des personnes.

Brice Hortefeux et Fadela Amara ont installé, le 16 mars, les 175 premiers délégués des préfets prévus par le plan Espoir banlieues. Ces derniers ont pour mission de coordonner l'action quotidienne des services de l'Etat dans les quartiers en difficulté.

Plus de six années auront été nécessaires pour que le chantier aboutisse : les cadres socio-éducatifs exerçant au sein des établissements public sanitaires, sociaux et médico-sociaux voient enfin leurs fonctions revalorisées et alignées sur celles des cadres de la filière soignante.

La loi Elan sur le logement du 23 novembre 2018 définit le cadre juridique de la cohabitation intergénérationnelle solidaire. Ce concept répond à un double objectif : renforcer le lien social (et ainsi rompre l'isolement, accompagner la vieillesse et maintenir la personne âgée à domicile) et faciliter l'accès au logement des jeunes de moins de 30 ans grâce à un coût modéré.

Suite à une grande enquête nationale réalisée en 2013, la mutuelle Chorum a exploité les résultats dans quatre régions. Les salariés (et les dirigeants) semblent très satisfaits de travailler dans l'économie sociale et solidaire, mais ils dénoncent une dégradation de leur qualité de vie au travail, surtout dans les structures de taille importante.