Votre recherche : "Travail social"

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Les minima sociaux (RSA, ASS, AAH, Aspa...) et autres prestations sociales (allocations familiales, APL, retraite...) n'augmenteront pas de la même manière en 2019. Comme annoncé lors de la présentation des PLF et PLFSS, le gouvernement entend en effet substituer à une logique de revalorisation générale et indifférenciée des revalorisations ciblées.
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Au 31 décembre 2013, 14 % des bénéficiaires de minima sociaux (RSA, AAH, ASS) avaient un emploi salarié selon une étude de la Drees. Les employeurs étaient majoritairement des particuliers employeurs, des associations, et des structures relevant du champ de la santé ou de l’action sociale.
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C'est un véritable réquisitoire contre la situation actuelle dans les Ehpad et dans les services d'aide à domicile que dresse le Conseil économique, social et environnemental (Cese) dans son avis "Vieillir dans la dignité". Il reprend notamment la proposition-phare du rapport Iborra-Fiat : une norme opposable de 60 ETP de personnel soignant pour 100 résidents.
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Le quartier Humanicité, implanté sur deux communes de la métropole de Lille, a fait le pari de la mixité sociale. On y trouve, entre autres, un hôpital, des foyers médico-sociaux, une résidence étudiante, des logements privés. Une médiatrice veille au quotidien à coconstruire le bien-vivre ensemble au sein du quartier.
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Les partenaires sociaux sont parvenus le 22 février à un projet d’accord interprofessionnel sur la formation professionnelle. Il crédite le compte personnel de formation de 35 heures par an et par personne et prévoit une refonte des systèmes de financement. Mais sera-t-il à la hauteur des attentes du gouvernement qui prévoit d’annoncer, mardi 27 février, ce qu’il en retient ?
Le magazine
Sécurité, hygiène, évaluation, recommandations... Les normes ont envahi le champ social et médico-social. Destinées à améliorer la qualité et renforcer les droits des usagers, elles pèsent aussi lourdement sur le quotidien des établissements. Leur appropriation ne doit pas se faire au détriment du coeur de métier.
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A partir du 2 mai 2015, les entreprises - et donc les établissements et services sociaux et médico-sociaux (IME, Itep, Esat...) - qui souhaitent affecter des jeunes de moins de 18 ans à des travaux dangereux n'auront plus qu'une déclaration préalable à adresser. Jusqu'à présent, elles devaient demander une autorisation à l'inspection du travail qui était valable 3 ans.