Votre recherche : "Travail social"

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La rémunération des temps de pause, d'habillage ou de déshabillage et de douche ne peut être neutralisée pour le calcul du coefficient de la réduction Fillon que dans la mesure où ces temps n'ont pas la nature de temps de travail effectif.
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Le gouvernement a lancé le 1er février une campagne visant à redorer le blason de l'aide à domicile auprès des actifs. 30 000 nouveaux emplois sont attendus d'ici 2030. Si ces métiers sont aujourd'hui légèrement plus attractifs du fait de la refondation de la branche, ils restent parmi les métiers les moins rémunérés, en-deçà du Smic. Eclairage et perspectives.
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Pour la première fois, les deux acteurs de l’autonomie ont consacré une journée entière, le 30 mai, à échanger sur leurs politiques, pour mieux les ajuster. De cette rencontre nationale, la caisse a tiré une ébauche de méthode pour mieux coopérer. Mais pour les départements, il est aussi question d’argent…
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Fin 2017, environ 7 millions de personnes (allocataires, conjoints et enfants à charge) étaient couvertes par un minimum social, soit 11 % de la population. Ce chiffre est stable par rapport à 2016. Derrière cette stagnation se combinent des diminutions pour certaines prestations (à l'instar du RSA) et des augmentations pour d'autres (AAH et ADA).
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L'agrément de la hausse de la valeur du point dans la branche de l'aide à domicile (BAD) est officiellement acté par arrêté ministériel. D'autres agréments et extensions sont intervenus ces derniers temps : revalorisation du salaire minimum conventionnel dans la CCN 51, hausse de la valeur du point dans les missions locales et PAIO, formation dans la Bass, accord OETH, etc.
Le magazine
Le premier poste de David B. (1) s'est soldé par un échec. En cause : un contexte compliqué, une inexpérience du poste et une méconnaissance du secteur.
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Doublement pénalisés, les enfants relevant du handicap et de l’aide sociale à l’enfance (ASE) font toujours les frais de cloisonnements institutionnels. Les professionnels des services de soins spécialisés et d’éducation à domicile (Sessad) se sont interrogés lors de leurs journées nationales sur les moyens d’éviter que ces jeunes ne demeurent d’éternelles « patates chaudes ».