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Dans le Nord, le centre de ressources de la prévention spécialisée a initié le programme « Ensemble, on fait quoi ? ». Conférences, débats, formations, création d'outils... Autant de réponses à la radicalisation croissante et, plus largement, au malaise des jeunes.

L’Ecole normale sociale, à Paris 18, vient de mener à bien la rentrée des futurs assistants sociaux en première année. Katia Lamardelle, la directrice générale, et Sabrina Cortes, la responsable du centre de formation, expliquent comment elles ont réussi à concrétiser notamment le socle commun, en lien avec d’autres établissements.

Alors que le décès d’un travailleur social à Nantes dans l’exercice de ses fonctions avait ébranlé la protection de l’enfance et provoqué de vives réactions sur les conditions de travail, qu’en est-il des mesures prises par le conseil départemental ? Quels sont les changements sur le terrain ? Réponses avec les principaux intéressés.

Depuis quelques jours, un "Manifeste pour le travail social " circule sur Internet avec, en bas de l'affiche jointe, l'indication d'un comité de soutien, ainsi qu'un appel à signer une pétition. Mais qui est derrière ce texte ? Qu'est-ce qui a motivé la création de ce manifeste ? Dans quel but ? Explications.

En Seine-Saint-Denis, des polyvalentes de secteur ont tiré, de leur travail quotidien, une pièce de théâtre aussi drôle que cinglante qu'elles jouent ce mois-ci. La mise en scène et le jeu permettent à ces assistantes sociales de prendre du recul par rapport aux souffrances des usagers comme à leurs frustrations.

Une assistante sociale travaillant pour les services d'aide sociale du département peut-elle se retrancher derrière le secret professionnel pour refuser de communiquer des informations à la police ou à la justice ?

Les 28 et 29 juin ont eu lieu les 11e Assises de la protection de l’enfance autour de la thématique primordiale des besoins de l’enfant. Mais si certains sujets, délicats et contemporains, se fraient à juste titre une place dans le travail social, celui de la dégradation des conditions de travail a, littéralement parlant, été laissé à la porte de la cité des congrès de Nantes.

Il aura fallu attendre le 23 août pour découvrir comment, à la rentrée, réorganiser les formations des assistants sociaux ou des éducateurs, pour reconnaître leurs diplômes au grade de la licence. Mais n’est-il pas déjà trop tard, pour les établissements et leurs élèves ? Corinne Michel, adjointe au Directeur général de la cohésion sociale (DGCS) (1), écarte les inquiétudes.

Il est possible de se former aux métiers du social en suivant un cursus universitaire. C'est le cas d'Anne-Laurie Pilar, en licence professionnelle d'animation sociale à l'IUT de Bobigny. Elle raconte comment l'engagement citoyen a déclenché cette envie de travailler en animation et pourquoi elle se sent à l'aise dans le cadre associatif.

Approuvé par le Conseil supérieur du travail social le 23 mars, le projet d'orientations nationales des formations sociales 2011-2013 encourage la création de "Hautes écoles professionnelles en action sociale". "Cette innovation permettra d'inscrire les formations (...) dans un paysage européen plus large", a vanté la ministre des solidarités. Qui a évoqué d'autres d'évolutions