Votre recherche : "Travail social"

5443 résultats
Paroles de
Alors que l'économie sociale et solidaire est en passe d'être reconnue par les pouvoirs publics, l'enseignement supérieur commence à intégrer cette nouvelle donne. Ainsi, en Champagne-Ardenne, une université et une école de commerce regroupent leurs forces pour constituer une chaire d'ESS. Les explications de Laëtitia Lethielleux, professeur titulaire de la chaire
A la une
Les ordonnances modifient des pans entiers du code du travail. Un grand nombre de ces dispositions nécessitaient des mesures réglementaires pour entrer en vigueur au plus tard le 1er janvier. Certains des décrets attendus ont été publiés fin 2017. Présentation.
A la une
Les réseaux nationaux de l’insertion par l'activité économique (Chantier Ecole, Coorace, Fédération des entreprises d'insertion...) interpellent le gouvernement et les parlementaires pour que des mesures soient prises dans les ordonnances à venir sur le code du travail. Leur souhait ? Améliorer l'accès à la formation des personnes accompagnées par les structures de l'IAE.
Revue de presse
Dans un rapport débattu le 26 novembre, le Conseil économique, social et environnemental (Cese) montre l'essor du travail à temps partiel qui concerne surtout les femmes et les personnes peu qualifiées. Il estime que le clivage entre temps partiel choisi et subi n'est pas si net. Ce rapport s'accompagne de propositions pour encadrer davantage le recours au temps partiel.
A la une
La reconnaissance et l'indemnisation des pathologies psychiques liées au travail est un vrai casse-tête. Les différents pays européens cherchent chacun leurs solutions. Eurogip a mené l'enquête auprès de 10 d'entre eux pour connaître leurs pratiques et les obstacles qu'ils rencontrent.
Revue de presse
Il existe un décalage important entre le nombre de pathologies psychiques déclenchées par le travail et le nombre de cas reconnus en tant que maladie professionnelle. Un rapport analyse les causes de cette sous-reconnaissance.
A la une
A compter du 1er janvier 2014, les salariés à temps partiel ne pourront plus travailler moins de 24 heures par semaine. Les fédérations d'employeurs de la branche associative sanitaire, sociale et médico-sociale - réunies au sein de l'Unifed - veulent négocier avec les syndicats un accord de branche qui permettrait de déroger à cette durée plancher comme la loi l'y autorise.