Votre recherche : "Travail social"

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Une directrice générale d'association qui refuse de déléguer des responsabilités à son directeur adjoint commet-elle une faute grave ? Oui, si la délégation résulte d'une obligation contractuelle, rappelle la Cour de cassation dans un arrêt du 18 décembre 2013.
Le magazine
En lien avec l'Agence nationale d'appui à la performance des établissements de santé et médico-sociaux (Anap), la Fnars a réalisé une étude sur la performance de son numéro d'urgence sociale, le 115. Avec à la clé des améliorations de service, mais aussi des interrogations...
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La maladie d'Alzheimer est à tort associée au grand âge. Chaque année, 8 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chez des personnes de moins de 60 ans. Pour la première fois, une étude sur un petit échantillon de malades jeunes montre l'extrême perturbation qu'ils vivent aussi bien dans leur vie professionnelle que dans leur univers familial. Les proches sont également démunis.
Le magazine
Lancée au lendemain de l'affaire « Amélie », la mission confiée à Denis Piveteau doit prochainement rendre ses conclusions. Alors que le système français d'accompagnement des personnes handicapées a été pointé du doigt à plusieurs reprises ces derniers mois, les associations impliquées dans les groupes de travail livrent leurs solutions pour des parcours sans rupture.
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A l'occasion de la 7e journée européenne de la protection des données personnelles et de la vie privée qui s'est déroulée le 28 janvier, la Cnil a édité 5 fiches thématiques sur les principales problématiques que soulève en entreprise l'utilisation des nouvelles technologies et les systèmes de surveillance.
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Le travail clandestin est interdit. L'auxiliaire de vie, dont le contrat a été dissimulé par son employeur, peut prétendre, à l'issue de la relation de travail, à une indemnité forfaitaire égale à six mois de salaire, qui n'exclut pas le versement de dommages-intérêts pour privation du droit à l'allocation chômage.
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Une étude de la Dares établit que 60 % des avantages fiscaux liés à l'utilisation des services à la personne bénéficient aux 10 % des ménages les plus aisés. L'introduction d'un crédit d'impôt pour les familles non ou peu imposées a cependant permis de réduire un peu cette injustice. Les publics vulnérables contribuent davantage au coût de ces services.