Votre recherche : "Travail social"

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Chronique
Alors que la France continue d'exporter nombre d'enfants et d'adultes autistes en Belgique, en Israël, les autistes font le bonheur des start-up qui vont à la conquête du reste du monde. Hamou Bouakkaz, président de l'association Paul Guinot, nous livre son point de vue.
A la une
En cas de litige sur le nombre d'heures de travail réalisées, l'assistant maternel mais également son employeur doivent communiquer aux juges les justificatifs en leur possession.
Le magazine
Permettre à toute personne de s'engager pendant 2 ans auprès d'une association ou d'une fondation au service d'une mission d'intérêt général, tel est l'objectif du contrat de volontariat associatif. Forme d'engagement très présente dans les pays anglo-saxons mais encore peu en France, le volontariat a désormais un statut attractif, afin de favoriser son développement.
Le magazine
Petite révolution dans le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) : son article 37 prévoit d'expérimenter une modulation du forfait global de soins en fonction d'indicateurs de qualité. La démarche est séduisante pour peu que les indicateurs choisis soient adaptés.
Le magazine
L'association nantaise Handisup accompagne les élèves, de la maternelle à l'université, dans tous les temps de leur vie scolaire et sociale.
Le magazine
Le problème posé Je dirige une association qui gère un foyer d'hébergement pour personnes handicapées de 85 places, dont le directeur part à la retraite dans deux mois. Pour son remplacement, j'hésite entre promouvoir un chef de service, embauché en 2001 et titulaire d'un diplôme de niveau III, et recruter une personne extérieure, titulaire d'un diplôme de niveau II mais qui a cinq ans d'expérience dans le médico-social. Le directeur de l'établissement agit avec une large délégation et gère notamment le personnel et les budgets. Le profil des deux candidats répond-il aux exigences réglementaires ? Par ailleurs, notre association gère aussi un Esat dont le directeur, embauché en 2006, a un diplôme de niveau II. Sommes-nous dans la légalité ?