Votre recherche : "Travail social"

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Les préfets de département doivent "déployer" d'ici le 1er février 2016 le dispositif du "Pacte de la 2e chance" en priorité dans 100 quartiers "ultra prioritaires" de la politique de la ville. Objectif : apporter une réponse "à la carte" afin de remobiliser les jeunes de 16 à 25 ans les plus en difficulté et éviter ainsi qu'ils ne tombent dans la délinquance.
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Le rapport du comité d'évaluation des dépenses fiscales et des niches sociales vient d'être rendu public opportunément, au moment même où le gouvernement annonce un coup de rabot. Dans cet inventaire à la Prévert, les aides aux services à la personne sont jugées injustes socialement et disproportionnées par rapport à l'impact économique. Survivront-elles cet automne ?
Le magazine
Dans le cadre d'un programme européen, sept pays échangent sur les moyens de mieux accompagner la présence croissante d'usagers souffrant de troubles psychiques dans les structures pour personnes handicapées intellectuelles.
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En présentant son plan anti-endettement, le Premier ministre a douché les espoirs de ceux qui attendaient des avancées sur le chantier de la dépendance. Les décisions sont reportées (au mieux) à début 2012. Assez abattus, les acteurs du secteur, mais aussi de l'aide à domicile sans oublier les départements, ne veulent pas que le dossier soit renvoyé à l'après-présidentielle.
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La 3e étude nationale des coûts menée cette année auprès d'environ 80 Ehpad volontaires doit permettre d'affiner les connaissances en la matière par catégorie de résidents. Une évolution portée par un décret cadrant ces travaux.
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Une enquête de la Drees fait le point sur l'accueil fin 2015 des enfants de moins de 3 ans. Le nombre de places en établissement d'accueil de jeunes enfants progresse alors que les assistantes maternelles sont moins nombreuses, tout en restant la modalité d'accueil la plus répandue. En tout, deux enfants sur trois de moins de 3 ans peuvent avoir une solution d'accueil.
Le magazine
Le problème posé. Je préside une association d'aide à domicile qui emploie une quarantaine de salariés. Suite à plusieurs ruptures de contrats de travail (démission, licenciement pour faute grave, rupture conventionnelle), l'association a rencontré des difficultés dans le cadre de la gestion du droit individuel à la formation (DIF). Les salariés peuvent-ils en bénéficier à n'importe quel moment ? Comment cela se passe-t-il lorsque le contrat prend fin ? Existe-t-il des règles différentes si le salarié démissionne ou s'il est licencié ? Le salarié doit-il bénéficier du DIF avant de quitter l'association ou peut-il en profiter chez le nouvel employeur ?
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Le cap avait été indiqué dans la feuille de route pour 2015-2017 du plan pluriannuel contre la pauvreté : désormais, les mesures allaient être davantage territorialisées. Ségolène Neuville vient de dévoiler des instructions plus précises à ses services déconcentrés. Il va être fait appel à la "capacité à innover" des acteurs locaux.