Votre recherche : "Travail social"

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A quelques jours du probable remaniement, quatre ministres se sont réunis pour présenter un plan pour les métiers de l'autonomie. Approuvé par quasiment tous les partenaires, il vise à préparer le secteur à la montée des besoins et à rendre ces métiers attractifs. L'Etat s'engage à débloquer 1,8 million d'euros d'ici 2016 sur l'ensemble de ce plan.
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Pour la Cour de cassation, des faits de harcèlement moral et sexuel ne peuvent être couverts par l'ancienneté, même "importante", du salarié fautif (en l'occurrence un moniteur d'atelier d'une structure pour personnes handicapées). Inutile également pour le harceleur d'invoquer l'exécution sans reproche de son contrat de travail sur une longue période.
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Sortis simultanément, une enquête de l'Insee et le premier rapport de l'observatoire national de la politique de la ville montrent combien les quartiers prioritaires cumulent les handicaps et les discriminations. Education, emploi, santé, insertion sociale, cadre de vie, insécurité : la promesse d'égalité républicaine ne concerne pas totalement 5 millions d'habitants.
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A la faveur d'une mission parlementaire lancée par Claude Bartolone, dont le rapport a été publié l'été dernier, la question des immigrés âgés - et parmi eux, des chibanis - a récemment fait une incursion dans l'actualité. Pour Omar Samaoli, gérontologue, beaucoup reste à faire pour ces oubliés des politiques publiques.
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Le gouvernement n'aura pas attendu longtemps pour détailler sa réforme des retraites. Le 27 août, Jean-Marc Ayrault a annoncé pour les salariés et les entreprises une hausse des cotisations vieillesse dès 2014, un allongement de la durée de cotisation allant jusqu'à 43 ans en 2035 et la création d'un compte personnel de prévention de la pénibilité en 2015.
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Le gouvernement pourrait devoir instituer un dispositif de suivi des établissements et services sociaux et médico-sociaux qui accueillent des personnes handicapées de 40 ans et plus. C'est du moins ce que les députés ont voté dans le cadre du projet de budget pour 2010. Un autre amendement soutient le développement de solutions adaptées aux besoins de ces publics fragiles.
Le magazine
Le problème posé. Je préside une association d'aide à domicile qui emploie une quarantaine de salariés. Suite à plusieurs ruptures de contrats de travail (démission, licenciement pour faute grave, rupture conventionnelle), l'association a rencontré des difficultés dans le cadre de la gestion du droit individuel à la formation (DIF). Les salariés peuvent-ils en bénéficier à n'importe quel moment ? Comment cela se passe-t-il lorsque le contrat prend fin ? Existe-t-il des règles différentes si le salarié démissionne ou s'il est licencié ? Le salarié doit-il bénéficier du DIF avant de quitter l'association ou peut-il en profiter chez le nouvel employeur ?