Votre recherche : "Travail social"

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Environ 230 000 personnes vont pouvoir prétendre au bénéfice d'une prime exceptionnelle de 500 €. Qui est concerné ? Toute personne sans emploi, à compter du 1er avril, ayant travaillé entre 2 et 4 mois sur les 28 derniers mois, à condition d'en faire la demande à Pôle emploi.
A la une
Lors du congrès de l'Assemblée des départements de France, la ministre chargée (entre autres) de la réforme de l'Etat a pris soin de rassurer des élus locaux inquiets par la dégradation des comptes de départements et les ambitions des régions. Un groupe de travail devrait être créé pour trouver des solutions financières, a annoncé Marylise Lebranchu.
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Les modalités de mise en oeuvre des obligations évaluatives pesant sur les gestionnaires d'établissements ou services sociaux ou médico-sociaux font l'objet de quelques éclaircissements de la part de la Direction générale de la cohésion sociale (DGCS). Laquelle ne lève pas toutes les zones d'ombre en la matière.
Le magazine
En Lorraine, l'Association meusienne de sauvegarde de l'enfance de l'adolescence et de l'adulte (AMSEAA) construit des outils pour faire de ses établissements de véritables sites qualifiants.
Paroles de
Le feuilleton de la dénonciation de la convention collective de 1951 va peut-être connaître de nouveaux rebondissements avec l'entrée en scène d'un acteur un peu oublié : le Snaless. C'est un syndicat employeur qui adhère à la CCN 51 depuis plusieurs années. Contrairement à la Fehap, le Snaless n'a pas encore dénoncé la CCN, comme nous l'explique son président, Pierre Queille.
Revue de presse
Malgré la légère amélioration de la situation des jeunes sur le marché du travail, en 2010, le nombre d'entre eux accueillis pour la première fois dans le réseau des missions locales et PAIO est resté très élevé, comme le constate une publication de la Dares (Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques).
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Pour arrondir leurs fins de mois, certains personnels soignants hospitaliers cumulent les activités au risque de se retrouver en infraction avec la réglementation. Invitée par la ministre de la Santé à se pencher sur ce phénomène, l'Igas constate que le dispositif juridique de cumul est "précis et souple" mais qu'il demeure "mal connu".