Votre recherche : "solidarité"

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Alors que l'Assemblée des départements de France a commencé sa tournée des ministères, elle réaffirme que les dossiers sociaux, notamment le financement des allocations individuelles de solidarité et l'accueil des mineurs étrangers non accompagnés, constituent sa priorité. L'ADF voudrait aborder ces questions dès la première conférence des territoires prévue cet été.
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Une nouvelle tarification des services d'aide et d'accompagnement à domicile (Saad) est en cours d'élaboration, afin de sortir ce secteur du sous-financement structurel dont il souffre. Directrice adjointe de l'Union nationale ADMR, qui participe à la concertation sur ce dossier, Maud Collomb réagit à la première esquisse diffusée par la CNSA.
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Pour sa première visite de terrain, la ministre des solidarités et de la santé a découvert deux réalisations d'ATD Quart Monde : un centre de promotion familiale et une entreprise solidaire. Agnès Buzyn s'est déclarée en phase avec cette démarche globale de lutte contre la pauvreté. Elle veut cependant prendre son temps avant de dévoiler son programme d'action.
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Le projet de loi de finances rectificative (PLFR) pour 2016 prévoit des rallonges dans le champ de la solidarité pour couvrir les besoins de financement sur l’aide médicale d’État, la prime d'activité, l'allocation aux adultes handicapés ou encore le service civique. Il crée également un fonds d’urgence en faveur des départements en difficulté doté de 200 millions d'euros.
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Pour aider les ménages les plus pauvres, l'idée d'une fusion entre le revenu de solidarité active (RSA) et la prime pour l'emploi (PPE) a été remise sur le tapis par le Président de la République. Pour l'économiste Henri Sterdyniak, cette solution est "délicate (sinon impossible) à mettre en œuvre". Explications.
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Alors que les personnels des Ehpad sont aujourd'hui appelés à se mobiliser et que les syndicats vont être reçus par Agnès Buzyn, un rapport des députés Iborra (LREM) et Fiat (FI) propose de rendre opposable, d'ici 4 ans, une norme minimale de 0,6 (60 ETP pour 100 résidents) pour le personnel "au chevet" (aides-soignants et infirmiers), soit le double du taux actuel.