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Le groupe Mornay a organisé sa troisième édition des Rendez-vous de la Solidarité. Cette année, il souhaitait aborder le thème de l'emploi des personnes handicapées psychiques, un problème encore méconnu et mal pris en charge. Explications avec Anne-Catherine Duveau, coordinatrice des activités sociales du groupe.
A la une
Pour la Cour européenne des droits de l'homme, dès lors qu'une personne poursuivie pour délit d'aide à l'entrée, à la circulation et au séjour irréguliers a été dispensée de peine, il n'y a pas de violation de l'article 8 de la Convention européenne des droits de l'homme (droit à la vie privée et familiale).

A la une (brève)
Un contrat d'accompagnement dans l'emploi d'une journée de travail par semaine pour les bénéficiaires du revenu de solidarité active a été lancé dans 11 départements. Afin d'encourager la signature de tels contrats, la participation des conseils généraux au financement de l'aide versée à l'employeur est diminuée.
A la une
Plus resserré, le premier gouvernement Philippe ne fait pas que des heureux. Des pans entiers de l'activité ou de la population française ne se sentent pas représentés par cet exécutif. Parmi eux, les secteurs du logement et des personnes âgées. En revanche, le handicap se félicite d'avoir une secrétaire d'Etat "militante", mais ne lui signe aucun chèque en blanc.
Le magazine
A titre expérimental et jusqu'au 31 décembre 2012, les bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA) les plus éloignés de l'emploi peuvent signer avec certains conseils généraux des contrats uniques d'insertion (CUI) à temps partiel de 7 heures hebdomadaires.
A la une
Des accueils de jour pour les femmes victimes de violences conjugales doivent être ouverts dans chaque département. La ministre des solidarités et de la cohésion sociale lance une campagne d'appel à projets en vue de sélectionner les structures les plus adaptées.
Revue de presse
Une étude qualitative du Crédoc montre que le revenu de solidarité active n'est pas toujours bien compris par ses bénéficiaires qui ont du mal à percevoir l'amélioration de leur situation. La séparation stricte entre accompagnement social et professionnel est jugée insatisfaisante pour répondre à la complexité des problèmes rencontrés par les allocataires.