Votre recherche : "solidarité"
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A la une (brève)
11/06/2018
A la une
10/09/2018
A quelques jours de la présentation du plan gouvernemental contre la pauvreté, la Drees publie un épais document sur les minima sociaux et les prestations sociales. Il apparaît que l'ensemble des prestations sociales permet de réduire de plus de huit points le taux de pauvreté. Le RSA reste le minimum social le plus versé.
Revue de presse
20/10/2010
Une enquête menée par la Fnars auprès de travailleurs sociaux du secteur associatif dénonce les lourdeurs et dysfonctionnements attachés au revenu de solidarité active (RSA).
A la une
22/05/2017
Entre 2013 et 2015, la croissance du nombre d'allocataires du RSA-socle a été divisée par trois, passant de 7,4 % à 2,5 %. Il n'en reste pas moins que plus de 4 millions de Français vivent avec des minima sociaux : près de deux millions de foyers avec le RSA, plus d'un million avec l'allocation aux adultes handicapés (AAH), etc.
A la une
16/12/2011
Lors de la conférence nationale d'évaluation du revenu de solidarité active (RSA), hier, Roselyne Bachelot, la ministre des solidarités, a reconnu que ce dispositif avait un "bilan mitigé". En effet, s'il a certes permis à de nombreuses personnes de sortir de la pauvreté, l'emploi n'a hélas pas été au rendez-vous. Mais la ministre s'est montrée confiante.
Le magazine
04/10/2010
Dans le Pas-de-Calais, le conseil général s'est doté d'une « mission insertion par l'emploi », qui épaule les animateurs correspondants et les référents « revenu de solidarité active » (RSA) sur le volet professionnel de l'accompagnement des bénéficiaires.
A la une
15/07/2010
Le ministre de la Jeunesse et des Solidarités actives rappelle aux services déconcentrés - DRJSCS, DDCS ou DDCSPP - la réglementation applicable aux centres de vacances et de loisirs (accueils collectifs de mineurs).
A la une (brève)
11/04/2018
A la une
26/03/2018
La réalisation d'une enquête nationale annuelle de coûts relative au secteur de l'accueil, de l'hébergement et de l'insertion (AHI) est désormais obligatoire pour les centres d'hébergement et de réinsertion sociale (CHRS) et les centres d'hébergement d'urgence ouverts 9 mois par an, sous peine d'une tarification d'office ou d'un non-versement d'une partie de la subvention.