Votre recherche : "solidarité"

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Le magazine
Les notions de parcours, de coordination, de travail en réseau impliquent de partager des informations entre professionnels. Comment concilier ces logiques avec le respect de la vie privée des usagers, l'obligation de discrétion ou le secret professionnel ? La question s'avère complexe et les récentes évolutions législatives ne règlent pas tout.
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La CNSA a fait connaître les seize projets retenus dans le cadre de l'appel à projets "Handicap et perte d'autonomie : innovation sociale par le design". Il s'agit d'aider des porteurs de projet à mobiliser les personnes concernées pour construire ensemble des réponses. Illustration avec une idée portée par le conseil départemental de la Haute-Garonne.
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Le programme squat de Médecins du Monde s’est terminé en décembre 2018. L’équipe tentait le 14 février de donner à entendre les enseignements de cette expérience éminemment participative, où co-construction et pouvoir d’agir ne sont pas de vains mots.
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Alors que les personnels des Ehpad sont aujourd'hui appelés à se mobiliser et que les syndicats vont être reçus par Agnès Buzyn, un rapport des députés Iborra (LREM) et Fiat (FI) propose de rendre opposable, d'ici 4 ans, une norme minimale de 0,6 (60 ETP pour 100 résidents) pour le personnel "au chevet" (aides-soignants et infirmiers), soit le double du taux actuel.
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Sortir de la logique d'escalier d'insertion, hisser le "logement d'abord" au rang de stratégie nationale, l'expérimenter à l'échelle d'une ville... Les propositions de l'Agence nouvelle des solidarités actives (Ansa) concourrent toutes à un objectif : généraliser le "logement d'abord". Et ce à l'heure où l'expérimentation a fait ses preuves pour loger les personnes à la rue.
Le magazine
Une nouvelle tarification des services d'aide et d'accompagnement à domicile (Saad) est en cours d'élaboration, afin de sortir ce secteur du sous-financement structurel dont il souffre. Directrice adjointe de l'Union nationale ADMR, qui participe à la concertation sur ce dossier, Maud Collomb réagit à la première esquisse diffusée par la CNSA.
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La direction générale de la cohésion sociale revient sur les modalités d'orientation et de sanction des allocataires du revenu de solidarité active (RSA), récemment rénovées. Afin d'éviter toute erreur, la communication entre président du conseil général et organisme débiteur est essentielle.
Revue de presse
Le revenu de solidarité active était censé encourager financièrement la reprise d'activité et valoriser la valeur travail. Dans les faits, ses incidences sont beaucoup plus contrastées. Deux dysfonctionnements majeurs apparaissent : le RSA incite les allocataires à privilégier un temps partiel ; l'avantage financier n'intervient que la seconde année de travail.