Votre recherche : "sud"

Les 12 500 salariés des missions locales vivent un paradoxe de plus en plus insupportable. Leur travail d'accompagnement est sollicité sur tous les dispositifs d'insertion des jeunes, mais ils sont ensevelis sous la paperasse. Leur rémunération stagne et les arrêts maladie se multiplient. La colère monte. Ils étaient en grève le 28 janvier.

Lors d'un déplacement vendredi 24 janvier dans le Val d'Oise, le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a réaffirmé l'engagement de son gouvernement dans l'application des mesures du plan de lutte contre la pauvreté. Après une première année consacrée à la mise en oeuvre rapide de "mesures fortes", l'heure est à la maturation des projets. Le cap est fixé pour 2014.

Etudiants, formateurs, professionnels, manifestaient ensemble le 12 décembre, devant le ministère des Affaires sociales. En cause, la perspective imminente de formations transversales, qui feraient disparaître la variété de leurs métiers.

L'union des employeurs de l'économie et sociale et solidaire (Udes) ne veut plus se contenter de strapontins. Elle entend siéger dans toutes les instances pour faire entendre sa petite musique sur l'importance de la négociation dans les branches et du dialogue avec les syndicats. Voilà le message délivré par son nouveau président Hugues Vidor.

Le premier tour de la présidentielle a été marqué, entre autres, par des scores très importants de Marine Le Pen dans de nombreux villages de France et de Navarre. Nous avons demandé à des responsables politiques et associatif, ainsi qu'à un observateur, d'analyser ce phénomène du vote FN à la campagne et de proposer des réponses pour réduire les sources de désespérance.

La troisième loi de finances rectificative pour 2012 place les activités des lieux de vie et d'accueil hors du champ de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA). Ce, en conformité avec la directive communautaire applicable en la matière.

Créée en 2014, l'association nantaise Four Happy Hands réunit des intervenantes accompagnant à domicile des enfants autistes. Elle pallie ainsi le manque de solutions alternatives, pour des parents souvent échaudés par des pratiques institutionnelles jugées peu novatrices.

Nous poursuivons notre série de portraits d'étudiants en travail social. Cette semaine, direction Reims pour une rencontre avec Ophélie Chapuis, future monitrice éducatrice. Son choix professionnel est intervenu après un parcours sinueux et avec la ferme intention de démarrer le métier par le bas. Et de ne pas abandonner son franc-parler.